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"D’un côté, un mouvement de fond dénonçant les abus et pratiques de domination caractérisant une période qu’il est nécessaire de purger ; de l’autre une vision intransigeante de l’Etat de droit qui rappelle les principes fondamentaux de la prescription et de la présomption d’innocence"
Christophe Bigot tente de resituer les enjeux les uns par rapports aux autres dans un contexte qui conduit à les caricaturer.
A lire sur le Monde.fr : "#metoo : le justice doit avoir le monopole de la snaction, elle n'a pas celui de la vérité"
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